Banzaï !
Les voyageurs, nombreux, qui prennent l'avion, devront tenir compte du crash de l’Airbus A320 le 24 Mars 2015, de la compagnie Allemande Germanwings, filiale du groupe Lufthansa, un des meilleur groupe aéronautique mondial. Car ce crash traduit la prise en compte d'un paramètre peu usité à ce jour, où seules les défaillances techniques, voir humaines (erreurs de pilotage) étaient sur le devant de la scène : nous parlons de l'état mental et psychologique du pilote ou du copilote.
Depuis le 11 Septembre de funeste mémoire, les compagnies aériennes ont une porte de cockpit blindée qui ne s'ouvre, après identification de l'entrant, que de l'intérieur. C'est bien, mais que se passe t'il si la personne restée à l'intérieur du cockpit ne veux pas ouvrir ? On connaît, hélas, le résultat d'un tel comportement. Maintien de cette fermeture, + déficience mentale ou physique d'un pilote = cent cinquante morts...
Il ne reste qu'a prendre en compte ces nouveaux paramètres de « sécurité » pour éloigner ce genre d'inconvénient ! Ce que les compagnies aériennes devraient faire rapidement. Jusqu’à ce qu'un autre incident, voir accident, nous fasse réfléchir à d'autres solutions !
Un autre problème est relevé : comment une compagnie aussi importante que la Lufthansa peut elle autoriser le pilotage d'un avion de ligne par un individu psychotique, et qui plus est, en arrêt de travail ? Souhaitons qu'une réponse soit apporter un jour. Une réponse satisfaisante si possible. Mais c'est une autre histoire, une histoire de fou !
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